lundi 30 juillet 2012

Péage.be routier

Les trois Régions se sont accordées sur les principes d'un péage routier. Une "architecture provisoire" a été élaborée et le gouvernement flamand l'a déjà approuvée. Le point ne suscite pas de problème du côté wallon et, à Bruxelles, l'on attend que tous les points techniques soient finalisés avant de se prononcer.


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Verkeersboetes fors hoger

De federale regering wil een veiliger verkeer en kondigt daarvoor strengere straffen aan voor dronken rijden en het niet dragen van de gordel. De boete voor het niet dragen van de autogordel, zowel voor- als achterin, wordt verdubbeld naar 100 euro.
Voor professionele chauffeurs ligt de alcohollimiet voortaan op 0,2 promille, en niet langer 0,5 zoals voor alle andere bestuurders geldt. ‘Een grens van 0,2 promille staat quasi gelijk met een nultolerantie voor professionele chauffeurs', zegt staatssecretaris voor mobiliteit Melchior Wathelet (CDH).

samedi 28 juillet 2012

Les mythes des Jeux Olympiques, ancien et moderne

Les Jeux Olympiques des deux dernières décennies sont devenus exponentiellement plus orientés vers le divertissement. Même la prolifération d'un mercantilisme grossier est un élément positif puisqu'il renvoie les JO au rôle qu'ils remplissent le mieux.

Les Jeux Olympiques commencent, ce qui veut dire qu'à côté des parades d'athlètes, nous allons devoir supporter la parade d'infatués qui essaieront d'utiliser les Jeux pour leur propre promotion. Le Comité Olympique International pense que ce spectacle sportif de plusieurs milliards de dollars est en pratique une sorte de mouvement mondial pour la paix, pendant que les politiciens locaux voient les Jeux comme la toile sur laquelle ils peuvent projeter leurs opinions sur l'économie, le commerce international, les politiques environnementales, et tout ce dont ils peuvent imaginer. Ils ne parlent que de ça.


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Comment la propriété intellectuelle a transformé les Jeux olympiques en cauchemar cyberpunk

A première vue, il y a assez peu de rapports entre les Jeux olympiques de Londres et les univers dystopiques du cyberpunk, tel qu’ils ont été imaginés à partir des années 80 dans les romans de William Gibson, de Bruce Sterling de Philip K. Dick ou de John Brunner.
A bien y réfléchir cependant, le dopage – dont le spectre rôde sans surprise toujours sur ces jeux 2012 – est déjà un élément qui fait penser au cyberpunk, où les humains cherchent à s’améliorer artificiellement par le biais d’implants bioniques ou l’absorption de substances chimiques.
Mais c’est plutôt à travers la gestion des droits de propriété intellectuelle par le CIO que l’analogie avec le cyberpunk me semble la plus pertinente et à mesure que se dévoile l’arsenal effrayant mis en place pour protéger les copyrights et les marques liés à ces jeux olympiques, on commence à entrevoir jusqu’où pourrait nous entraîner les dérives les plus graves de la propriété intellectuelle.
Une des caractéristiques moins connues des univers cyberpunk est en effet la place que prennent les grandes corporations privées dans la vie des individus. L’article de Wikipédia explicite ainsi ce trait particulier :
Multinationales devenues plus puissantes que des États, elles ont leurs propres lois, possèdent des territoires, et contrôlent la vie de leurs employés de la naissance à la mort. Leurs dirigeants sont le plus souvent dénués de tout sens moral. La compétition pour s’élever dans la hiérarchie est un jeu mortel.
Les personnages des romans cyberpunk sont insignifiants comparativement au pouvoir quasi-divin que possèdent les méga-corporations : ils sont face à elles les grains de sable dans l’engrenage.
Dans les univers cyberpunk, les firmes privées les plus puissantes ont fini par absorber certaines des prérogatives qui dans notre monde sont encore l’apanage des Etats, comme le maintien de l’ordre par la police ou les armées. Les corporations cyberpunk contrôlent des territoires et les employés qui travaillent pour elles deviennent en quelque sorte l’équivalent de “citoyens” de ces firmes, dont les droits sont liés au fait d’appartenir à une société puissante ou non.
Pour les JO de Londres, le CIO est parvenu à se faire transférer certains droits régaliens par l’Etat anglais, mais les romanciers de la vague cyberpunk n’avaient pas prévu que c’est par le biais de la propriété intellectuelle que s’opérerait ce transfert de puissance publique.


Pour défendre ses marques et ses droits d’auteur, mais aussi être en mesure de garantir de réelles exclusivités à ses généreux sponsors comme Coca-Cola, Mac Donald’s, Adidas, BP Oil ou Samsung, le CIO a obtenu du Parlement anglais le vote en 2006 d’un Olympics Game Act, qui lui confère des pouvoirs exorbitants. L’Olympics Delivery Authority dispose ainsi d’une armada de 280 agents pour faire appliquer la réglementation en matière de commerce autour des 28 sites où se dérouleront les épreuves et le LOCOG (London Organizing Committee) dispose de son côté d’une escouade de protection des marques, qui arpentera les rues de Londres revêtue de casquettes violettes pour s’assurer du respect de l’Olympics Brand Policy. Ils auront le pouvoir d’entrer dans les commerces, mais aussi dans les “locaux privés”, et de saisir la justice par le biais de procédures d’exception accélérées pour faire appliquer des amendes allant jusqu’à 31 000 livres…
L’Olympics Game Act met en place une véritable police du langage, qui va peser de tout son poids sur la liberté d’expression pendant la durée des jeux. Il est par exemple interdit d’employer dans une même phrase deux des mots “jeux”, “2012″, Twenty Twelve”, “gold”, “bronze” ou “medal”. Pas question également d’utiliser, modifier, détourner, connoter ou créer un néologisme à partir des termes appartenant au champ lexical des Jeux. Plusieurs commerces comme l’Olympic Kebab, l’Olymic Bar ou le London Olympus Hotel ont été sommés de changer de noms sous peine d’amendes et il existe un Tumblr dénommé OpenOlympics qui recense tous les lieux à Londres qui ont été obligés de se plier à la loi du CIO !
L’usage des symboles des jeux, comme les anneaux olympiques, est strictement réglementé. Un boulanger a été obligé d’enlever de sa vitrine des pains qu’il avait réalisés en forme d’anneaux ; une fleuriste a subi la même mésaventure pour des bouquets reprenant ce symbole et une grand-mère a même été inquiétée parce qu’elle avait tricoté pour une poupée un pull aux couleurs olympiques, destiné à être vendu pour une action de charité !
Cette règle s’applique aussi strictement aux médias, qui doivent avoir acheté les droits pour pouvoir employer les symboles et les termes liées aux Jeux. N’ayant pas versé cette obole, la chaîne BFM en a été ainsi réduite à devoir parler de “jeux d’été” pour ne pas dire “olympiques”. Une dérogation légale existe cependant au nom du droit à l’information pour que les journalistes puissent rendre compte de ces évènements publics. Mais l’application de cette exception est délicate à manier et le magazine The Spectator a été inquiété pour avoir détourné les anneaux olympiques sur une couverture afin d’évoquer les risques de censure découlant de cet usage du droit des marques. Cet article effrayant indique de son côté que plusieurs firmes anglaises préfèrent à titre préventif s’autocensurer et dire “The O-word” plutôt que de se risquer à employer le terme “Olympics“. On n’est pas loin de Lord Voldemort dans Harry Potter, Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Dire-Le-Nom !

Le dérapage vers la censure, le CIO l’a sans doute déjà allègrement franchi. Le blog anglais Free Speech rapporte que les comptes Twitter d’activistes protestant contre la tenue des jeux à Londres ont été suspendus suite à des demandes adressées à Twiter, parce qu’ils contenaient dans leur nom les termes JO 2012. Des moyens exceptionnels de police ont aussi été mis en place pour disperser les manifestations et patrouiller dans plus de 90 zones d’exclusion. Plus caricatural encore, il n’est permis de faire un lien hypertexte vers le site des JO 2012 que si l’on dit des choses positives à leurs propos !

vendredi 27 juillet 2012

JO.uk.london

La cérémonie d'Ouverture des Jeux Olympiques de Londres se tiendra le 27 juillet 2012. à partir de 19 h 30, heure locale



Lire aussi:
Billets aux JO: un marché noir bien réel

Le CIO a annoncé samedi avoir reçu des preuves de la part du Sunday Times, le journal britannique qui avait révélé des cas de ventes au marché noir de billets des JO de Londres par des officiels, et a décidé de poursuivre son enquête qui devrait s'achever fin septembre début octobre.
"La Commission d'éthique (du CIO) a reçu des preuves de la part du journal et constaté que chaque cas mérite une analyse détaillée incluant l'audition de toutes les parties, particulièrement sur (...) l'infraction délibérée aux différentes règles qui régissent la vente de billets pour les JO", peut-on lire dans un communiqué du CIOLa commission exécutive du CIO, réunie samedi à Londres, a donc autorisé la commission d'éthique à poursuivre son enquête.

jeudi 26 juillet 2012

Libération fiscale.fr

Le jeudi 26 juillet est une date symbolique pour les salariés français: le jour de
« libération fiscale »
c'est-à-dire le premier jour de l'année à partir duquel les contribuables d'un pays ont accumulé suffisamment d'argent pour pouvoir payer les prélèvements obligatoires dont ils sont débiteurs.
La France est l'avant-dernier pays à « libérer » ses contribuables, selon une étude réalisée depuis trois ans par l'institut économique Molinari, en partenariat avec le cabinet d'audit Ernst & Young.
Au troisième rang l'année dernière, derrière la Belgique et la Hongrie, la France supplante cette dernière (dont les prélèvements ont beaucoup diminué), cette année, en termes de taxation, avec un taux de charges et d'imposition réel de 56,5 % contre 59,2 % en Belgique.

Cette pression fiscale ne correspond pas au taux de prélèvements obligatoires d'un pays (exprimé en points de PIB) : elle est calculée par l'institut en agrégeant les principaux impôts et charges que supportent directement ou indirectement les salariés (charges sociales, IR, TVA), en les rapportant au « salaire complet du salarié moyen » (calculé en additionnant les impôts et charges et ce qui reste une fois ces prélèvements réglés).


Lire aussi:
La Belgique en 9e position dans la liste des paradis fiscaux
17 mille milliards d'euros: c'est la somme accumulée par les particuliers du monde entier dans les paradis fiscaux. L'ONG Tax Justice Network arrive à cette conclusion après avoir analysé des données recueillies auprès des Nations Unies, du FMI, de la Banque mondiale et des Banques Centrales.

17 mille milliards d'euros, c'est une somme colossale, l'équivalent du PIB des Etats-Unis et du Japon réunis. Il s'agit d'une évaluation prudente, de l'aveu même de James Henry, l'auteur de l'étude, un ancien chief-economist du cabinet-conseil McKinsey.

Tax Justice Network conclut qu'il s'agit d'un véritable trou noir dans l'économie mondiale.

Le groupe de pression estime que le manque à gagner, en revenus fiscaux, pour les Etats, s'élève à 160 milliards d'euros au bas mot.

La Belgique est souvent montrée du doigt lorsqu'il est question de paradis fiscaux, notamment parce l'Etat ne prélève aucun impôt sur la fortune.

mardi 24 juillet 2012

Le Libor c'est quoi ?

Le Libor est un taux interbancaire de référence, publié tous les jours à 11h15 par l'Association des banquiers britanniques (BBA), qui en délègue le calcul à l'agence financière Thomson Reuters. Chaque jour celle-ci recueille auprès de dix-huit grandes banques le niveau du taux d'intérêt auquel elles empruntent, pour en calculer la moyenne. C'est ce qui constitue le Libor. Ou plus exactement les Libor. Car il en existe pour 10 devises et pour 15 durées de prêt allant jusqu'à un an. Soit 150 au total.
Comme il s'agit d'une ressource de financement pour les banques, le Libor sert de référence pour déterminer le taux d'intérêts des emprunts et des autres contrats de dette. Il est si important qu'un dispositif de remplacement est prévu à 150 kilomètres de la City, pour que le Libor continue d'être fixé quotidiennement en cas d'accident majeur.

Lire aussi:
Libor, à qui le tour?


Le patron démissionnaire de Barclays, a dû se défendre pendant près de trois heures mercredi lors de son audition devant les parlementaires britanniques au sujet du scandale sur le Libor.

Dans sa défense, il a notamment souligné que Barclays donnait systématiquement les taux de référence les plus élevés parmi les 18 banques qui contribuent au calcul de cet indice clé. Pour rappel, le London Interbank Offered Rate est calculé selon le principe suivant: la British Bank Association collecte les taux estimés par chacune des 18 banques à 11h. Elle demande à Thomson Reuters d'écarter le taux le plus bas et le plus élevé, et d'établir la moyenne sur la base restante.

lundi 23 juillet 2012

Départ.fr vers l'étranger

Alexander Kraft, PDG France de la société d'enchères Sotheby's International Realty, la filiale de la maison d'enchères londonienne, spécialisée dans l'immobilier de luxe qui indiquait avoir réalisé un volume de ventes de plus de 170 millions d'euros au 2e trimestre, en progression de 2% par rapport à la période correspondante de 2011:
"L'offre d'immobilier de prestige se porte à merveille en France. Au total, « plus de 100 biens haut de gamme avec un prix moyen de plus de 1,7 million d'euros auraient été vendus entre avril et juin 2012 » par Sotheby's."

Des propriétés a priori rachetées par des étrangers en quête d'investissements.
Des grandes fortunes se débarrasseraient ainsi d'un patrimoine encombrant depuis l'annonce des mesures fiscales du nouveau gouvernement. Effrayées par l'imposition à 75 % des hauts revenus et une fiscalité plus contraignante sur les successions ou encore une imposition harmonisée des revenus du capital et du travail, elles auraient précipité leur départ vers l'étranger ...

dimanche 22 juillet 2012

"Je tournerai sept fois mon pouce, maintenant, avant de tweeter !"

"François me fait totalement confiance, sauf sur mes tweets"




Lire aussi:
Hollande tourne la page du "Trierweilergate"


François Hollande n'avait jamais abordé le cas de Valérie Trierweiler depuis le "Trierweilergate". Samedi 14 juillet, sur TF1, il a estimé que "les affaires privées se règlent en privé." Une mise au point pleine de fermeté à l'égard de sa compagne. 

François Hollande ne s'est pas éternisé. Le cas de Valérie Trierweiler a été abordé pendant un peu plus de deux minutes, samedi, lors de son interview télévisée pour le 14-Juillet. Le chef de l'Etat ne s'était jamais exprimé depuis l'affaire du tweet de soutien de sa compagne à Olivier Falorni. Mais après la sortie de son fils Thomas, dans Le Point de cette semaine, il a tenu à clarifier les choses.
Point de grandes envolées pour justifier la sortie de route de Valérie Trierweiler dans l'entre-deux-tours des législatives. Ferme, sans grande émotion sur son visage, le chef de l'Etat a tranché dans le vif, se déclarant favorable à "une claire distinction entre vie privée et vie politique". "Je considère que les affaires privées se règlent en privé. Je l'ai dit à mes proches pour qu'ils acceptent scrupuleusement le respect de ce principe", a-t-il ajouté, "les Français veulent que les choses soient claires, que l'Etat soit dirigé par celui qu'ils ont choisi et qu'il n'y ait aucune interférence"
Le chef de l'Etat s'est ensuite attardé un peu plus longuement sur le statut de première dame - "il n'y a pas de statut", a-t-il tranché - , ainsi que sur le choix professionnel de sa compagne : "Valérie veut garder son activité professionnelle et je le comprends, elle sera présente à mes côtés lorsque le protocole l'exigera", ce qui n'est "pas si fréquent", a-t-il précisé. Subtile façon de faire comprendre que Valérie Trierweiler sera moins présente que pendant la campagne. Et de conclure, comme pour adoucir la mise au point, que ce "n'était pas facile de prendre cette place". Un peu plus tard, à Brest, Valérie Trierweiler a elle aussi, dans un grand sourire, mis un point final à cette histoire : "la prochaine fois je tournerai mon pouce sept fois avant de tweeter".

Valérie Trierweiler à l'Élysée : Hollande entretient le flou
Premier Dame ou journaliste ? Le rôle de Valérie Trierweiler auprès de François Hollande semble enfin éclairci suite à l'interview du 14-juillet. Mais pas pour tout le monde. Notre chroniqueuse Dom B estime en effet que malgré les déclarations à ce sujet, la transparence, ce n'est pas pour maintenant.

samedi 21 juillet 2012

14 juillet #fêtenat

Une bonne politique.us

Obama, dans une interview accordée à CBS ce jeudi 12 juillet :

"L’erreur que j’ai commise durant mon premier mandat a été de penser que ma fonction était de mettre de place une bonne politique. C’est important, mais il entre aussi dans la nature de cette fonction de raconter une histoire qui insuffle au peuple américain un sentiment d’unité, de direction et d’optimisme, surtout par les temps qui courent".

Obama venait de nommer la technique managériale largement pratiquée dans les pays anglo-saxons du storytelling qui consiste à faire en sorte qu’un leader puisse insuffler à ses cadres, ou à ses employés, une vision de l’entreprise qui sert alors deux objectifs :
  1. créer le sentiment d’un destin commun, même si, à l’évidence, les différents agents (qui a le capital, qui gère le capital, et qui fournit le travail) ont des buts différents
  2. susciter aussi une éthique d’entreprise, autrement dit un cadrage des comportements productifs qui passe pour une justification moral.
Le storytelling de management opère selon une double rhétorique : une rhétorique de solidarité qui masque les inégalités des positions dans l’entreprise ; une rhétorique d’investissement affectif qui permet de culpabiliser ceux ou celles qui dérapent. C’était la technologie rhétorique de Steve Jobs à Apple.
L’adaptant au management politique, un leader devra donc tenter de développer un récit qui à la fois surplombe les différences entre les différents agents (en politique : les électeurs, les intermédiaires de la classe politique, le gouvernement) au nom d’une mission qui les aligne, comme dans un bon roman où "tout se tient" ; et suscite chez ceux et celles qui lui sont récalcitrants un sentiment de malaise, puisque s’ils sont des politiques ils se savent et se veulent sous le regard public (selon Sartre on a honte parce qu’on se croit constamment observé), ou qui permet à celui qui débite le Grand Récit, de dire qu’ils devraient avoir honte – ce qui produit souvent le même effet.

vendredi 20 juillet 2012

237.967 €/an

Les salaires des dirigeants d’administrations régionale ou d’entreprises publiques flamandes ne pourront ainsi plus dépasser 237.967 €/an

jeudi 19 juillet 2012

La monarchie koweïtienne.parl

Les conflits récurrents entre la monarchie koweïtienne et ses parlementaires élus par le peuple favorisent la montée des islamistes au discours moraliste face auxquels la famille royale se positionne en défenseur des droits de l'homme. Dernier épisode en date : la récente invalidation des élections législatives qui se sont déroulées en février, suscitant une importante manifestation sous forme d'un défilé mobilisant peut être 30 000 personnes.

mardi 17 juillet 2012

Un communiqué régional de merde

Elio Di Rupo :
" Voilà comment un communiqué de merde d’un niveau régional vient polluer la politique fédérale "
" Il y a des règles très précises pour reconnaître les calamités, Benoît [Lutegn] peut danser sur sa tête, le Fonds des calamités ne peut rien donner à ses amis agriculteurs " .

Sabine Laruelle :
"Di Antonio ne connaît pas la législation, son parti n’a pas participé aux réunions et le dossier a déjà été accepté par les organisations agricoles."

Lire aussi:
Foire d'empoigne au conseil des ministres


"C’était apocalyptique..." " Je n’avais jamais vu cela et pourtant, des conseils, j’en ai vécus..." " Une histoire de fou. C’est énorme ce qui s’est passé ." Vendredi, après le Conseil de cabinet, les ministres commentaient, en "off" l’incroyable réunion qui s’était tenue le matin même, autour d’Elio Di Rupo.
Ce qui a mis le feu aux poudres ? La querelle, que dire, la guerre qui oppose depuis 48 heures la ministre fédérale de l’Agriculture, Sabine Laruelle (MR) et le ministre wallon de l’Agriculture, Carlo Di Antonio (CDH). Sabine Laruelle a proposé une intervention du Fonds des calamités pour la sécheresse qui a frappé la Belgique en 2011. Se conformant aux quatre critères fixés dans la réglementation pour bénéficier de cette indemnisation, elle a proposé de retenir les agriculteurs qui pratiquent la culture de lin, d’épinards et de céréales de printemps dans l’Oostkustpolder, en Flandre.
D’où la grosse colère du cabinet Di Antonio qui, dans un communiqué, demande à la ministre de revoir sa copie. Motif : la sécheresse avait également touché les prairies et les prés de fauche entraînant des pertes économiques sévères pour les éleveurs wallons.
Réplique de Sabine Laruelle : "Di Antonio ne connaît pas la législation, son parti n’a pas participé aux réunions et le dossier a déjà été accepté par les organisations agricoles." Et Sabine Laruelle d’accuser le CDH de faire de la démagogie sur le dos des agriculteurs. Revenons au Conseil. Très vite, le ton monte. Le Premier ministre, Elio Di Rupo, n’est pas en reste. Il dit, texto : " Voilà comment un communiqué de merde d’un niveau régional vient polluer la politique fédérale " On entend voler les mouches.
Pourtant, il faut trouver un accord. Joëlle Milquet cherche à apaiser la tension et à joindre Benoît Lutgen. Pourquoi pas Di Antonio, le ministre qui a envoyé le communiqué "de merde" ?
Un ministre rigole : " Je crois que le ministre Di Antonio rangeait les chaises de son festival, on n’allait quand même pas le déranger pour si peu ! " Carlo Di Antonio n’est pas seulement ministre. Il est aussi responsable du festival de Dour.
Benoît Lutgen rappelle. Di Rupo s’isole pour lui parler. Lutgen n’en démord pas. Il veut que l’indemnisation profite aussi aux agriculteurs wallons. La facture passerait donc de 5 à 50 millions. Impossible. Inacceptable, pour les autres ministres.
Dès lors, les commentaires, plus ou moins audibles, fusent. On accuse Benoît Lutgen de vouloir se balader en héros à la Foire de Libramont, qui débutera dans quelques jours. D’autres sources affirment même que le fameux communiqué " de merde " a, en fait, été rédigé par Benoît Lutgen et envoyé à la presse par l’intermédiaire du cabinet de Carlo Di Antonio, qui a succédé à Benoît Lutgen l’an dernier. Vrai, faux ? "Vrai", s’emporte un ministre. Ce truc ne concerne que les prairies du Luxembourg... A dix jours de la foire de Libramont. D’ailleurs, Sabine Laruelle a essayé de joindre Carlo Di Antonio il y a quelques jours, lequel ne connaissait rien de ce dossier ! "
Elio Di Rupo fait des allers-retours entre la salle du Conseil des ministres et le bureau d’où il appelle Benoît Lutgen. Aucun accord ne semble possible. " Il y a des règles très précises pour reconnaître les calamités, Benoît peut danser sur sa tête, le Fonds des calamités ne peut rien donner à ses amis agriculteurs " .
Dans le contexte budgétaire que l’on connaît, la demande paraît totalement excessive (50 millions) aux yeux des autres ministres. Excessive et illégale. C’est alors que Didier Reynders, dont on connaît l’humour noir et les colères froides, se lance : " Il n’y a aucun problème. Si nous n’arrivons pas à nous mettre d’accord tout de suite sur une intervention de 5 millions du Fonds des calamités, comme Sabine le propose, dès demain, j’enverrai une demande au Premier ministre pour le conclave budgétaire, demande dans laquelle nous demanderons vraiment 50 millions pour les agriculteurs. Cela signifiera donc qu’il n’y aura plus 1 euro pour la sécurité et la justice "
La ministre de l’Intérieur, Joëlle Milquet, comprend le piège, elle qui réclame des moyens supplémentaires pour la police. Repalabres Finalement, le gouvernement se range derrière la proposition initiale de Sabine Laruelle : octroyer 5 millions d’euros, selon les dispositions du Fonds des calamités. Mais la ministre Laruelle promet qu’elle expliquera, dans un courrier aux Régions, les critères qui ont guidé le choix du gouvernement.
Fin du Conseil des ministres ? Que non. Car un autre point, sensible lui aussi, maintient la tension à son plus haut niveau. C’est Johan Vande Lanotte, ministre de l’Economie et de la Mer du Nord, qui revient avec son projet de créer une milice privée afin de protéger des pirates les bateaux belges qui s’aventurent au large de la Somalie. Depuis le début de cette année, cinquante arraisonnements ont déjà eu lieu. Pareilles milices protègent déjà les bateaux luxembourgeois et britanniques. Les Français, qui ont une base à Djibouti, utilisent leur armée sur place. Mais les Belges n’ont que deux frégates disponibles. Impossible et trop coûteux Mais le projet de Vande Lanotte déplaît à la vice-Première ministre PS, Laurette Onkelinx, qui demande des garanties, et aussi voir surtout, à Joëlle Milquet, qui rappelle au passage qu’elle est la ministre de l’Intérieur. Ce genre de projet pourrait donc émaner de son cabinet.
C’en est trop... Vande Lanotte explose à son tour. On l’entend hurler : " Je n’en peux plus." Il annonce, furieux, qu’il retire son projet : " Je n’ai pas envie de faire croire aux marins qu’ils sont protégés alors qu’ils ne le sont pas. Quand on aura un mort sur un bateau, il faudra bien que j’explique pourquoi on n’a pas voulu les protéger ." Il affirme, en effet, qu’avec les conditions réclamées, la protection n’était plus automatique.
Cette fois, le Conseil est bien terminé. La tension est à peine retombée. Un ministre raconte : " Le Conseil devait durer deux heures. Il a débuté à 9h30. On s’est séparé à 13h30. La tension était telle que personne ne voulait aller à la conférence de presse..."
Pourquoi ce coup de sang ? Plusieurs participants évoquent la fatigue, le travail considérable que le gouvernement a dû abattre ces derniers temps, les éternelles rivalités entre MR et CDH, l’amateurisme de certains cabinets
A cela il faut ajouter la discussion, qui commencera dimanche, sur le contrôle budgétaire. Même si l’exercice ne semble pas compliqué, il risque d’y avoir des tensions entre ceux qui réclament de nouveaux moyens et les autres. De plus, la discussion sur le plan de relance est aussi tendue. Et elle risque, finalement, de déboucher sur quelques mesures et un catalogue de bonnes intentions. Puis, il y aura les élections, les communales... Mais avant cela, vive les vacances

La dette publique à 101,8% du PIB

#EffetDiRupo : L'Etat belge a pour la première fois depuis 2004 plus de dettes que la totalité des revenus annuels de l'ensemble des Belges.

Le PIB a augmenté de 2,3 milliards d'€, à 370,6 milliards d'€.
Le niveau de la dette publique a grimpé à 101,8% du PIB, contre 98,2% à la fin de l'année dernière.

Les 78 millions manquant au budget 2012 auraient été trouvés, mais où?
Le gouvernement maintiendrait le cap pour un retour à l'équilibre en 2015 ... surtout ne pas y croire.

dimanche 15 juillet 2012

vendredi 13 juillet 2012

La "princesse Barbie"

La princesse Sara Bint Talal Ibn Abdel Aziz Al Saoud, surnommée la "princesse Barbie" a annoncé qu'elle avait sollicité du ministère de l'Intérieur du Royaume Uni, l'asile pour elle et ses quatre filles:
"Avec mes profonds regrets et dans la mesure où je n'avais pas le choix, j'ai écrit au ministère de l'Intérieur du Royaume-Uni pour demander, pour moi-même et pour mes enfants, l'asile politique"

"Ma réputation a été souillée dans les médias par une campagne de dénigrement mal intentionnée et sans fondement"

"J'ai subi tout cela en silence pendant des années en essayant de trouver une solution digne à travers les voies normales, sans tambours ni fanfare"

25.000.antoine.rochus.€

Christophe Rochus (présent sur une liste apparentée cdH à Grez-Doiceau) aurait bénéficié d'une aide financière de 25.000 € de la part d'André Antoine (ministre des Sports cdH à la Communauté française et bourgmestre en titre à Perwez) afin d'organiser du 14 au 22 juillet un tournoi Challenger au TC de Bercuit à Grez-Doiceau.

Sybille de Coster-Bauchau:
"Si je me réjouis de l'intérêt que le Ministre Antoine porte pour la politique 'sportive' de Grez-Doiceau, on pouvait s'interroger sur ses réelles motivations. J'ai donc interpellé M. Antoine ce matin en Commission du Sport"

André Antoine (que l'on dit mal à l'aise par rapport à cette révélation) a été estimé "logique" le subside accordé:
 "Le tournoi réunira des joueurs classés entre la 50e et la 150e place mondiale: Olivier Rochus, Goffin et Darcis y seront. Et le budget du tournoi avoisine les 205 000 euros, ce qui veut dire que 90% du financement vient du privé"

Lire aussi:
Le départ tourmenté du bras droit d'André Antoine
Le chef de cabinet d'André Antoine, Philippe Buelen, quittera cette fonction le mois prochain, a confirmé à Belga l'intéressé à la suite d'un article paru mardi dans "L'Avenir". Le départ de ce personnage-clé du gouvernement wallon, compagnon de route de longue date du ministre et du cdH, est toutefois entouré d'un halo de rumeurs que les uns et les autres se sont empressés mardi de démentir.
Après 22 ans de collaboration politique, dont 8 au service de M. Antoine depuis que celui-ci est devenu vice-président du gouvernement wallon, M. Buelen prendra ses fonctions au sein de la Sogepa, la société de gestion des participations que détient la Région wallonne dans un certain nombre d'entreprises.
L'annonce de cette prise de fonctions se serait toutefois déroulée sur fond de tensions politiques. A bonne source, on indique que M. Buelen souhaitait succéder à Libert Froidmont à la direction de la Sogepa mais se serait heurté au projet de rationalisation des outils publics d'animation économique du ministre Jean-Claude Marcourt (PS). Ce projet prévoirait l'absorption de la Sogepa par une autre société, la Société Régionale d'Investissement de Wallonie (SRIW). L'information a toutefois été démentie. Le seul projet de fusion actuellement discuté vise d'autres outils: l'Agence Wallonne des Télécommunications (AWT), l'Agence de Stimulation Economique (ASE) et l'Agence de Stimulation Economique (ASE).

jeudi 12 juillet 2012

"avoir croisé le regard de François"

Thomas Hollande a dîné en tête-à-tête avec son père qui lui a demandé de "ne pas alimenter le feuilleton":
Trierweiler a "détruit l'image normale" qu'avait construite le président"Ce que je reproche au tweet, c'est d'avoir fait basculer la vie privée dans la vie publique"

En quoi le tweet était privé ? ... en rien ...
Si l'image "normale" a été construite, c'est qu'elle est fausse ... CQFD




Lire aussi:
Thomas Hollande menace Valérie Trierweiler: "Et surtout pas de deuxième tweet !


[EDIT, 20H]  Thomas Hollande a affirmé mercredi soir à l'AFP que ses propos avaient été "déformés" par Le Point
POINT TWEET
- Le fils de François Hollande règle très sévèrement ses comptes avec la compagne de François Hollande, dans un entretien à paraître dans Le Point, ce jeudi 12 juillet.

dimanche 8 juillet 2012

Lego-Bridge

Loterie.be Nationale

Quelque 6,6 millions de gains aux différents jeux de la Loterie Nationale n’ont pas été réclamés par les heureux vainqueurs, ce qui représente un peu moins de 0,9 % du montant des gains distribués l’année dernière.
Le montant des lots payés par rapport au chiffre d’affaires est quant à lui passé de 54 % en 2010 à 56% en 2011, soit 750,101 millions d’euros, sur un total de mises de 1,198 milliard d’euros.

samedi 7 juillet 2012

Moi président je ne recevrai pas de dictateur

"aucune inscription politique ou religieuse"

La décision d'autoriser le voile sur les terrains de foot, quasiment prise en mars dernier, a été adoptée à l'unanimité des présents lors d'une réunion de l'IFAB à Zurich le 5 mars.

Règles de la :


C'était le voile ou la censure... L'alternative perdante-perdante laissée aux footballeuses de certains pays n'a pas beaucoup ému l'International Football Association Board (IFAB), organe garant des lois du jeu de la FIFA (fédération internationale du foot), qui a fini par céder aux demandes de la Confédération asiatique (AFC) et du Prince Ali Bin al Hussein de Jordanie, un des six vice-présidents de la Fifa.

Quatar.mali.islamistes

Invité de la matinale de RTL, Sadou Diallo, le maire de Gao au Mali a lancé un appel à l’aide à la France:
« Le gouvernement français sait qui soutient les terroristes. Il y a le Qatar par exemple qui envoie soi-disant des aides, des vivres tous les jours sur les aéroports de Gao, Tombouctou etc. »

Connu pour son gaz, son pétrole, ses fonds d'investissements, ses clubs de foot, le rachat des palaces parisiens et méditerranéens, le Qatar joue actuellement un jeu trouble au Nord-Mali, par le soutien financier et militaire qu'il apporte aux islamistes radicaux qui sèment le chaos dans le pays. Des agissements largement connus des puissances occidentales qui laissent faire tant la manne gazière et la position du pays dans le Golfe est stratégique.

vendredi 6 juillet 2012

Moriau inculpé de corruption

Patrick Moriau a été inculpé de corruption passive dans une affaire relative à l'implantation d'un projet immobilier à Farciennes. La Justice demande maintenant à la Chambre la levée de son immunité parlementaire.

mercredi 4 juillet 2012

Instituer des cours obligatoires de langue

Dirk Jacobs, sociologue de l’ULB et le Germe, le Groupe de recherche sur les relations ethniques, les migrations et l’égalité qui dépend de l’Institut de sociologie:

"la Région bruxelloise et la Wallonie doivent vraiment envisager sérieusement de développer des parcours d’intégration avec l’accent sur l’acquisition de la langue. J’irai plus loin encore : il faudrait instituer des cours obligatoires comme ils le sont pour certains groupes de primo-arrivants en Flandre "
Il faut dire qu'une enquête montre que parmi les migrants à la recherche d’un emploi, un tiers voire un peu plus d’un tiers des personnes sondées dans les trois villes pointent la connaissance insuffisante des langues (nationales) comme un obstacle. Parmi les problèmes rencontrés, il y a un manque de temps, l’absence de motivation, le coût des cours, la difficulté à choisir une méthode adaptée ou encore un manque d’information. Une autre donnée est aussi interpellante : 80 % des migrants bruxellois et 77 % de ceux de Liège mais aussi 60 % des sondés anversois n’ont jamais suivi de parcours d’intégration ou de cours de langue. Soit dit en passant : le caractère obligatoire est une bonne chose. Pour être complets, on précisera que 5 % des sondés de Bruxelles et d’Anvers et 7 % des sondés de Liège jugent ces cours inutiles mais la grande majorité d’entre eux - entre 60 et 70 % - s’en disent satisfaits, qu’ils aient ou non un caractère obligatoire. Enfin, il est utile à souligner pour ceux qui seraient rétifs à l’apprentissage des langues que 53 % de ceux qui les ont suivies à Bruxelles, 47 % à Liège et 28 % à Anvers sont convaincus que l’acquisition de la langue leur a permis de décrocher un emploi.
"Il faut veiller à ne pas rendre inutilement difficile l’accès à un permis de séjour de longue durée et à la nationalité qui sont considérés comme des instruments dans un processus d’intégration plus large, notamment pour augmenter leur degré d’implication locale et leur sentiment d’appartenance à la société belge. Ensuite, les migrants vivent les droits qui leur sont accordés comme les instruments d’une meilleure inclusion. Ils sont donc demandeurs de mesures qui favorisent leur intégration..."

lundi 2 juillet 2012

Le 28 mars 2012

Selon les calculs du Trésor australien, le 28 mars 2012, la somme des PIB des pays les moins avancés a dépassé celle des PIB des pays les plus riches.

«Ce jour-là a mis fin à une aberration qui a duré un siècle et demi

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Le roi de Thailande, Bhumibol Adulyadej, possède une fortune  estimée à 21 milliards euros, le souverain marocain arrive en septième position avec un malheureux 1,9 milliard, essentiellement tiré, rapporte Good «des phosphates, de l’agroalimentaire, de la distribution et des énergies renouvables».
«Il est néanmoins classé quatrième dans le monde arabe», précise encore le site d'information, derrière le roi Abdallah Bin Abdelaziz d’Arabie saoudite, 89 ans, (12,6 milliards d’euros), le cheikh Khalifa Bin Zayed des Emirats arabes unis, 64 ans, (10,5 milliards d’euros) et le cheikh Mohamed Bin Rachid Al Maktoum, l’émir de Dubaï, 62 ans (2,8 milliards d’euros).
Mohammed VI est un roi en or massif. Depuis plus d’une dizaine d’années, «le roi des pauvres» s’en tire plutôt bien: il a vu ses revenus fleurir de façon exponentielle.
Il est à la tête d’un joli pactole et il caracole au top 10 des rois et princes les plus aisés du monde, sur une liste comprenant généralement pas moins de quinze souverains.
Le magazine américain Forbes, spécialisé dans l’évaluation des fortunes des grandes célébrités de ce monde, notamment les monarques, a souvent placé le roi du Maroc à la tête du classement relatif à l’accroissement des richesses le plus rapide d’année en année.
Alors qu’elle était estimée à 500 millions de dollars, au début des années 2000, la fortune de Mohammed VI a en effet été multipliée par cinq, à en croire Forbes.
Sa fortune dépasserait ainsi celle de l’émir du Qatar et elle serait six fois supérieure à celle de l’émir du Koweït. Il laisse à la traîne les fortunes du prince de Monaco, Albert II, de la reine d’Angleterre, Elisabeth II, et de la reine Beatrix des Pays-Bas.
On attribue souvent cette augmentation à la hausse importante des prix du phosphate sur les marchés mondiaux de matières premières. Ce qui est complètement faux, puisque l’Office chérifien des phosphates (OCP) est une entreprise publique, et que le roi n’y possède pas de participations.

Tout va bien chers amis.

Tout va bien chers sujets.Magnifiques vacances à Brégançon pour honorer la transhumance estivale. Très agréable.


Lire aussi:
Trierweiler en repérage à Brégançon

La compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler, s'est rendue mercredi dernier au fort de Brégançon, la résidence présidentielle située dans le Var, pour repérer les lieux avec son officier de sécurité, rapporte Le Parisien. Un déplacement express qui se serait fait à la demande du chef de l'État, précise le quotidien. Le couple devrait y séjourner une quinzaine de jours début août.