mardi 30 juillet 2013

#PointCouillons II

Mise à jour rédactionnelle de la Libre (lundi 29 juillet, 12h) : 

Ce lundi, suite à une rencontre entre Charles Michel et Gaëlle Smet, il a été décidé de mettre un terme à la collaboration entre le MR et cette conseillère en neutralité de l'Etat au Centre Jean Gol. Le porte-parole du MR,
Fred Cauderlier, a contacté LaLibre.be pour préciser que le commentaire de Gaëlle Smet ne correspondait pas au respect des religions, au respect des morts et à la neutralité de l'Etat défendus par le MR.


On apprendra donc qu'il existe au MR une politique  de "respect des religions, respect des morts et de la neutralité de l'Etat" ... mais pas de la liberté d'expression [de l'humour grinçant].

MAIS, lire aussi
Qu’est-ce qu’un libéral (selon MR.be) ?
  1. Le libéral est celui qui croit qu'il est libre de choisir sa vie et qui assume ses choix.
  2. Le libéral est celui qui croit qu'autrui a le droit de faire d'autres choix que lui.
  3. Le libéral est celui qui croit que l'individu prime sur le groupe et s'oppose à toute forme de communautarisme écrasant.
  4. Le libéral est celui qui croit que la diversité des choix de vie est une richesse pour la société.
  5. Le libéral est celui qui croit que la valeur d’une société réside dans la valeur individuelle de chacun de ses citoyens.
  6. Le libéral est celui qui croit qu'une société libre est d’autant plus forte et évoluée qu'elle est diversifiée.
  7. Le libéral est celui qui croit que l'homme a toujours la liberté de changer les choses en mieux. Le libéral est optimiste et ne croit pas à la fatalité.
  8. Le libéral est celui qui croit que le libre exercice de ses potentialités permet à l'homme de se dépasser. Le libéral n'aspire pas à supprimer ou à « niveler » les différences entre les hommes : il les pousse à s'accomplir dans leur singularité.
  9. Le libéral est celui qui, lorsqu'il parle de ses droits, considère surtout ces derniers comme des droits de faire quelque chose que comme des droits à recevoir quelque chose.
  10. Le libéral est celui qui croit que la collectivité a le devoir de respecter sa propre liberté mais non pas d’assumer ses choix individuels.
  11. Le libéral est celui qui croit qu'il est libre de faire ce qu’il veut de son temps, de son énergie et de ses talents.
 
" Les couillons de Compostelle " : limpide, le code " réseaux sociaux " du MR ?
via Ettore Rizza 1 juillet 2013 à 06h15
« Ce message transgresse les valeurs que le MR défend, en particulier le respect absolu des victimes et la liberté de culte. (…) Le MR est présent sur les réseaux sociaux. Mais moyennant un code de conduire clair, à destination des militants et mandataires. » Charles Michel, président du MR, le 30 juillet, au Soir.
« N’oubliez jamais que vous êtes à un tweet de vous faire virer. » Comme d’autres avant elle, une employée du MR vient d’illustrer cette maxime bien connue au sein du réseau social. Pour Gaëlle S., conseillère en neutralité de l’Etat au centre d’études du parti, le gazouillis de trop concernait le tragique accident de train qui a fait 79 morts près de Compostelle, en Espagne : « les couillons qui ont marché pendant des semaines pour joindre Compostelle sont privés de célébration à cause de ceux qui arrivaient en train^^ ».
Sur papier, la phrase passerait au mieux pour de l’humour douteux, au pire pour une raillerie ignoble. Dans cet immense bistrot qu’est Twitter, les saillies de ce genre sont légion et n’émeuvent guère. Sauf un « élu MR » anonyme, qui s’est empressé de dénoncer la chose à un quotidien en ligne. C’était le samedi 27 juillet. Averti, Charles Michel s’est dit furieux et a promis à l’intéressée un « entretien sévère. » Entre-temps, cette dernière avait effacé son tweet et s’était excusée auprès des personnes que son « humour noir » aurait pu blesser. Le lundi suivant, le couperet est pourtant tombé : licenciement sans sommation.
Pour justifier cette sévérité, Charles Michel s’appuie sur les valeurs du MR, ainsi que sur un règlement interne censé prévenir les dérapages sur les réseaux sociaux. Nous nous sommes procuré ledit document. Verdict ?
Pas si clair
Intitulé « Les bonnes pratiques sur les réseaux sociaux », ce texte adopté le 24 juin tient sur une page. L’un des paragraphes énumère justement les « valeurs de l’humanisme démocratique » que tout membre du Mouvement réformateur s’engage à respecter : « La primauté de la personne humaine et sa dignité, l'égalité des droits et des chances pour tous, le respect des libertés fondamentales, la responsabilité, la solidarité sociale, le travail, la liberté d'entreprendre, de créer, le libre choix du mode de vie, la liberté de pensée et d'expression, la tolérance et le droit à la différence et la participation active des citoyens au débat politique. »

lundi 29 juillet 2013

Record de la taxation du salarié moyen

Record d’Europe pour la Belgique en matière de coût salarial:
Selon une analyse de l’Institut économique Molinari, pour qu’un salarié belge reçoive 100€ nets, cela en coûte en moyenne 252 à son employeur ....





dimanche 28 juillet 2013

Dette.be publique à 655 % du PIB

Source: Le Trends.levif 
"Six ans après le début de la crise financière, la dette publique de la plupart des pays industrialisés a atteint un niveau jamais vu en temps de paix… Et le fait que les statistiques de dettes officielles sous-estiment leur véritable ampleur aggrave encore la situation. De nombreux gouvernements font des promesses impliquant des augmentations considérables de dépenses en matière de retraites et de soins de santé pendant les décennies à venir" lit-on dans le chapitre 4 du dernier rapport de la Banque des règlements internationaux (BRI).
Ce chapitre est entièrement consacré au maintien des finances publiques dans les pays riches. Ces dernières années, la BRI, la seule des institutions financières connues ayant prévu à temps la grande crise financière a acquis une grande autorité.
La citation ci-dessus renvoie clairement à la dette publique non exprimée dans les statistiques officielles, mais qui est très réelle à cause des engagements pris par les gouvernements et deviendra très réelle durant les décennies à venir. Cette dette à venir est appelée dette implicite. La dette contractée jusqu’à aujourd’hui est la dette publique explicite.
Les chiffres sur l’évolution de la dette publique publiés ce lundi par Eurostat ne concernent que la dette explicite.
Selon Eurostat, la dette publique de la Belgique se chiffre à 104,5% du PIB pour le premier trimestre de l’année. Au sein de l’UE, quatre pays nous précèdent : la Grèce (160,5%), l’Italie (130,3%), le Portugal (127,2%) et l’Irlande (125,1%). L’ Estonie (10%), la Bulgarie (18%) et la Suède (39%) affichent les taux les plus bas.
Cependant, les statistiques officielles donnent une image totalement incomplète de la dette publique. Un calcul récent sur l’ampleur de la dette publique implicite nous apprend que pour la Belgique, elle s’élève à 558% du PIB.
Avec la dette publique effectivement atteinte fin 2012, cela nous donne une dette publique totale de 655% du PIB."



samedi 27 juillet 2013

#pointcouillons

Un couillon est une personne qui se fait couillonner, "se fait avoir".
C'est également un pleutre, une personne sans courage.

mercredi 24 juillet 2013

Ouest d'Ixelles



Précision: ce triangle "n'existe pas"; il est formé par l'Avenue Louise, devenue 1000-bruxelloise, qui l'isole du reste d'Ixelles ...

mardi 23 juillet 2013

CEO à 450.000 €

Jean-Pas­cal La­bille, mi­nistre des En­tre­prises pu­bliques, "pour­suit le tra­vail de son pré­dé­ces­seur" [ironique, médisant, .. ?], Paul Ma­gnette.
Il main­tient le pla­fond de 290.000€ fixé par ce der­nier, mais il y ajoute plu­sieurs ex­cep­tions per­met­tant de por­ter le sa­laire de cer­tains CEO à 450.000€.

Quelles sont ces exceptions ?
Le ministre propose ... et le gouvernement et le parlement, ils en pensent quoi ?


Lire aussi:

Les patrons d'institutions publiques flamands verront leurs salaires encadrés
Les dirigeants d'institutions publiques flamandes ne pourront bientôt plus gagner davantage que ce qu'empoche le ministre-président Kris Peeters, selon un projet de décret dont font état lundi De Standaard et Het Nieuwsblad. Ces patrons ne pourront ainsi plus recevoir plus de 242 000 euros sur base annuelle, tandis que la partie variable de leur rémunération ne pourra dépasser 20% du salaire. Une prime de départ reste envisageable par contrat, mais elle est limitée à l'équivalent d'un an de salaire. La décision exclut tout recours à une société de management pour liquider le salaire. Seuls les médecins de l'hôpital universitaire de Gand pourront faire exception à ces règles.
Si les circonstances du marché y incitent, le gouvernement flamand pourra, au terme d'une procédure spécifique, s'écarter de la norme salariale. Le texte contient aussi plusieurs mesures destinées à renforcer la bonne gouvernance. Au niveau fédéral, le ministre des Entreprises publiques Jean-Pascal Labille recherche lui aussi - peut-être pour cette semaine - un compromis sur un texte portant sur ces matières. Au sud du pays, les ministres wallons et de la Fédération Wallonie-Bruxelles se sont accordés fin 2012 sur un encadrement et un plafonnement de la rémunération des managers et hauts dirigeants au sein des entreprises et organismes publics, avec un plafond de 245 000 euros excluant là aussi les sociétés de management.

lundi 22 juillet 2013

Francorchamps for ever

D'après Michel Henrion,
Paul Furlan:
"Le maintien du Grand Prix de Francorchamps est nécessaire, quitte à abandonner d'autres projets et à faire des économies ailleurs"
Qui sait en quoi est-il nécessaire ?
Le GP F1 est déficitaire depuis des lustres ... vu le contrat léonin signé initialement ... et reconduit à des conditions inconnues du grand public ...

lundi 15 juillet 2013

Le sexisme.pénal.be

Dorénavant, le sexisme sur le plan pénal.be sera défini comme
"tout geste ou comportement verbal ou autre, qui a manifestement pour objet d'exprimer un mépris à l'égard d'une personne, en raison de son appartenance sexuelle, ou de la considérer comme inférieure ou de la réduire essentiellement à sa dimension sexuelle, ce qui porte une atteinte grave à sa dignité"

Actuellement seule l'"incitation" à la discrimination, à la violence ou à la haine à l'encontre des personnes en raison de leur appartenance sexuelle est sanctionnée.
L'avant-projet prévoit également de sanctionner le fait de "commettre" la discrimination. La discrimination est également précisée.

samedi 13 juillet 2013

La Constitution.be

...  et l’article 9 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme "consacrent la liberté de culte, en ce compris le respect des pratiques et des rites". Cette liberté ne peut être limitée qu’au regard de justifications relatives à la sécurité publique, à la protection de l’ordre, de la santé, de la morale, ou à la protection des droits et libertés d’autrui.

mardi 2 juillet 2013

Clément Méric blessé dans une précédante bagarre

Le 1er mai, Clément Méric avait déjà pris part à une bagarre, et fini à l’hôpital ... c'est ce qu'affirme une militante ...

   

La bagarre du premier mai, où Méric était présent et a été blessé




Interview de Serge Ayoub sur itélé : "c'est de la légitime défense"


Plus d'info sur cette histoire ?

"Clément Méric, physiquement beaucoup moins baraqué» (1,80 mètre pour 66 kilos) que son agresseur présumé Esteban Morillo, 20 ans, à la carrure nettement plus large." Libération

"Lors de sa garde à vue, Esteban, qui n'a rien d'un colosse (1m80 pour 66 kilos), a reconnu avoir porté deux coups à mains nues. "Le parisen

Libé du 06/06:
Ils se sont dirigés vers nous. Ils nous ont encerclés, sorti des coups de poings américains et se sont jetés sur nous. Nous ne nous attendions pas à un tel affrontement, mais nous ne pouvions pas fuir, littéralement dos au mur. Clément a été touché au visage par un coup de poing américain. Nous avons finalement réussi à les faire fuir, mais trop tard ; Clément est mort sur le coup».

Libé 25/06:
le film de la RATP «prouve que le groupe d’extrême gauche a attendu longtemps les skinheads à côté de la station de métro pour en découdre et que les trois d’extrême droite venus faire des achats ont eu le temps d’appeler des renforts». Ce qui confirme les témoignages de vigiles et organisateurs de la vente privée, qui ont «vu et entendu les militants antifascistes chambrer les skinheads, Clément Méric ayant été le plus provocateur»

Libe du 06/06
Le Parti de gauche affirme que la victime, un étudiant de Sciences Po «connu pour son engagement contre l’extrême droite», a été «violemment frappée au sol par un groupe de plusieurs militants d’extrême droite, manifestement du Groupe JNR (Jeunesses nationalistes révolutionnaires)» et «laissé inanimé».

Libé 25/06:
Quant à l’information de RTL précisant que le militant antifa n’a pas été «lynché une fois par terre», tout le monde le savait, les témoins, la PJ et le procureur de Paris l’ayant bien expliqué.


Mais aussi, via dreuz.info :
Fdesouche révèle lui que selon leurs « informations et divers témoignages qui pour l’instant souhaitent rester anonymes, Clément Méric faisait bien partie de la bande armée qui le soir du samedi 26 janvier 2013 a violemment pris d’assaut la Cantada, bar rock/métal du XIè arrondissement de Paris. »
Lé témoignage ajoute que « le chanteur de 8.6 Crew ainsi qu’une cliente avaient été frappés avec des battes de base-ball » et que « Clément Méric est décrit par des témoins comme étant l’un des plus agressifs de la bande : très excité, il se serait notamment distingué par le jet de divers projectiles (verres, bouteilles…) sur les clients du bar tout en les traitant de « fachos » ».
Et nous apprenons maintenant, c’est encore Causeur.fr qui publie cette information importante, que Clément Méric, au moment de l’agression, portait un protège-dents qui pourrait laisser penser, mais l’enquête le dira, qu’il y a eu préméditation et intention de massacrer Esteban et son groupe.
 « Toujours selon nos informations, dit Causeur.fr, [Méric] portait pour sa part un protège-dents, accessoire peu usité quand on est en mode shopping. »


Lire aussi: 
Finkielkraut sur Clément Méric

Manipulation, mensonges : les vérités de l’affaire Méric
 Clément Méric, le Martyr de la gauche française, depuis Mélenchon jusqu’à Jean-Marc Ayrault, est mort en essayant d’attaquer un homme par derrière, à trois contre un. Pourquoi la vérité est-elle restée cachée si longtemps ? Pourquoi le gouvernement ne souhaite-t-il pas dissoudre les groupuscules d’extrême gauche ? Depuis quelques jours, on commence à y voir clair sur l’affaire Méric, ce pauvre gamin décédé car quelques idéologues gauchistes avaient réussi à le lobotomiser. Clément Méric était embrigadé depuis quelques temps par les Antifas, des groupuscules dont le seul objectif, comme son nom l’indique, est la traque et la destruction des « fachistes » (mot qui n’a plus de sens depuis la chute de l’instit de gauche, Benito Mussolini et que chaque camp attribue à l’adversaire). En gros, les Antifas sont des Don Quichotte qui ont remplacé leurs moulins à vents par quelques nationalistes tout aussi manipulés qu’eux (mais qui au moins croient se battre pour leur pays et non pas contre une idéologie chimérique). Comble de la destruction de toute valeur et de la victoire de la société de consommation, nos rebelles de droite comme de gauche sont en fait des petits parisiens branchés qui n’aiment que la mode, les jolies fringues et leurs coupes de cheveux. Ironie du sort, ils se sont rencontrés dans une vente privée (SIC). Ici, le témoignage du vigile présent sur place lors du drame met en évidence le fait que ce sont Méric et ses acolytes qui ont agressé le groupe d’extrême droite. « Clément Méric voulait vraiment en découdre », a-t-il déclaré avant de préciser qu’il « semblait vraiment haïr ces gens. » Ainsi, les Antifas ont commencé à se moquer du groupe d’Esteban Morillo. Le vigile, qui a clairement identifié les Antifas comme ceux qui ont cherché la guerre, a dû les séparer et les gauchistes ont prévenus les autres qu’ils les attendraient dehors. La lâcheté des Antifas fait qu’ils étaient bien plus nombreux que l’autre groupe qui comprenait même une femme. Ces derniers ont alors appelé Esteban à la rescousse. Ensuite, dans la rue, les nationalistes ont essayé d’éviter le groupe de gauchistes, mais ces derniers on tout de même lancé la bagarre et porté les premiers coups. C’est là que la nouvelle vidéo sortie par RTL est intéressante : elle montre que Clément Méric s’est rué comme un lâche sur Esteban par derrière, alors que ce dernier se battait déjà seul contre deux Antifas. Il s’est alors retourné et a mis un coup de poing à Méric, qui est tombé sur le coup. Si mon fils, aussi grand et costaud soit il, se fait attaquer par derrière à 3 contre 1, je ne pourrai pas lui conseiller autre chose que de frapper pour se défendre. C’est exactement ce qu’à fait Esteban. C’est pour cela qu’il ne doit pas être la seconde victime de ces stupides luttes entre pseudos extrémistes et ne pas être envoyé en prison. Encore une fois, cette affaire est dramatique et le pauvre Méric est clairement une victime des groupuscules qui l’ont manipulé. Pour autant on ne peut pas laisser passer un homme qui attaque par derrière à trois contre 1 et qui est à l’origine de l’attaque, pour un Saint moderne, comme le font les médias et la classe politique depuis le début de l’affaire. Révoltant ! Selon Le Figaro, la police aurait avoué que cette vidéo aurait été mise de côté afin de ne pas raviver les tentions. Une bonne blague quand on connait le montant des dégâts causés par ces sauvages de gauchistes lors de leurs manifestations de soutien à Meric autorisées par la préfecture. 1000 fois moins nombreux que les manifestants de la Manif pour tous, ils ont fait 5 fois plus de dégâts. Mais cela, personne n’en parle. Tout simplement, les dirigeants socialistes étaient trop heureux de pouvoir encore faire diversion et diviser un peu plus la France, de pouvoir faire croire à quelques gogos que la « menace brune » (oui oui, de vrais éditorialistes ont vraiment repris cette expression) était encore présente, afin de remobiliser les quelques socialistes qui existent encore dans notre pays. Autrement dit, Hollande et Ayrault ont instrumentalisé un autre fait divers (ce qu’ils reprochaient tellement à Sarkozy) à des fins politiques. Sur le dos d’un enfant, c’est répugnant, surtout quand on imagine le nombre de petits bourgeois fils de profs qui vont vouloir imiter Méric…