lundi 2 juillet 2012

Le 28 mars 2012

Selon les calculs du Trésor australien, le 28 mars 2012, la somme des PIB des pays les moins avancés a dépassé celle des PIB des pays les plus riches.

«Ce jour-là a mis fin à une aberration qui a duré un siècle et demi

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Le roi de Thailande, Bhumibol Adulyadej, possède une fortune  estimée à 21 milliards euros, le souverain marocain arrive en septième position avec un malheureux 1,9 milliard, essentiellement tiré, rapporte Good «des phosphates, de l’agroalimentaire, de la distribution et des énergies renouvables».
«Il est néanmoins classé quatrième dans le monde arabe», précise encore le site d'information, derrière le roi Abdallah Bin Abdelaziz d’Arabie saoudite, 89 ans, (12,6 milliards d’euros), le cheikh Khalifa Bin Zayed des Emirats arabes unis, 64 ans, (10,5 milliards d’euros) et le cheikh Mohamed Bin Rachid Al Maktoum, l’émir de Dubaï, 62 ans (2,8 milliards d’euros).
Mohammed VI est un roi en or massif. Depuis plus d’une dizaine d’années, «le roi des pauvres» s’en tire plutôt bien: il a vu ses revenus fleurir de façon exponentielle.
Il est à la tête d’un joli pactole et il caracole au top 10 des rois et princes les plus aisés du monde, sur une liste comprenant généralement pas moins de quinze souverains.
Le magazine américain Forbes, spécialisé dans l’évaluation des fortunes des grandes célébrités de ce monde, notamment les monarques, a souvent placé le roi du Maroc à la tête du classement relatif à l’accroissement des richesses le plus rapide d’année en année.
Alors qu’elle était estimée à 500 millions de dollars, au début des années 2000, la fortune de Mohammed VI a en effet été multipliée par cinq, à en croire Forbes.
Sa fortune dépasserait ainsi celle de l’émir du Qatar et elle serait six fois supérieure à celle de l’émir du Koweït. Il laisse à la traîne les fortunes du prince de Monaco, Albert II, de la reine d’Angleterre, Elisabeth II, et de la reine Beatrix des Pays-Bas.
On attribue souvent cette augmentation à la hausse importante des prix du phosphate sur les marchés mondiaux de matières premières. Ce qui est complètement faux, puisque l’Office chérifien des phosphates (OCP) est une entreprise publique, et que le roi n’y possède pas de participations.

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