lundi 27 février 2012

Terrorisme médiatique et grand-banditisme intellectuel

Najat Belkacem:Terrorisme médiatique et grand-banditisme intellectuel: les deux mamelles de la campagne UMP>Mon communiqué à la presse

Phineas_Barnum : Haine & insultes, les 2 gonades de votre communiqué.

Le parti socialiste a pris ses distances avec les déclarations de Najat Vallaud-Belkacem.
La porte-parole du
candidat François Hollande avait comparé dans un communiqué dimanche soir Nicolas Sarkozy à «un mélange de Silvio Berlusconi et de Vladimir Poutine», «une contrefaçon, un produit de contrebande imaginé par des cerveaux d'extrême-droite, et revendu par des valets sans morale».


Lire aussi:
Terrorisme médiatique et grand-banditisme intellectuel: les deux mamelles de la campagne UMP.

MON COMMUNIQUE A LA PRESSE
Le 26 février 2012
Nicolas Sarkozy l’a compris, il ne gagnera pas l’élection présidentielle à la loyale: son bilan est indéfendable, sa personne est rejetée, il n’a pas de projet et son camp est miné par la division entre ceux qui courent après le Front National et ceux qui pleurent la disparition de la bonne vieille UDF. L’UMP n’existe plus que par la peur panique de perdre le pouvoir.

Une seule stratégie de campagne s’impose: mentir et tricher. Le vrai modèle de Nicolas sarkozy n’est pas Angela Merkel, mais un mélange de Silvio Berlusconi et de Vladimir Poutine, avec le vide idéologique de l’un et la brutalité des méthodes de l’autre.
Promettre aux Français salariés modestes 1000 euros de plus sur leur feuille de paie en direct au journal de 20h n’est rien d’autre qu’un abus de confiance, de la vente forcée, une escroquerie.
Le Nicolas Sarkozy qu’on cherche à vendre aux Français est un faux, une contrefaçon, un produit de contrebande imaginé par des cerveaux d’extrême-droite et revendu par des valets sans morale comme Xavier Bertrand, qui ne prennent même plus la peine de justifier l’injustifiable en préférant insulter l’adversaire.
Nicolas Sarkozy a gouverné en bande à part, il fait campagne en bande organisée. Tout un programme, en effet.
Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole de François Hollande


Sarkozy veut relever les bas salaires de près de 1000 euros
Nicolas Sarkozy a dévoilé ses propositions sur le thème du travail, parmi lesquelles un allégement de charges pour les bas salaires. Une "mystification", critique François Hollande
Nicolas Sarkozy a dévoilé mercredi 22 février au 20h de France 2 ses propositions électorales sur le volet du travail. Au menu allégement de charges pour les bas salaires et encadrement des revenus des grands patrons. Des mesures qui tranchent avec les promesses de 2007 sur le bouclier fiscal ou l'exonération des heures supplémentaires, mais un quinquennat et une crise sont passés par là.
Celui qui qualifie aujourd'hui d'erreur son passage au Fouquet's lors de sa victoire en 2007, conserve depuis cinq ans une constante : la "valeur travail". Une valeur qu'il veut "réhabiliter" par rapport à "l'assistanat", a-t-il développé hier en annonçant ses propositions sur ce thème central de sa campagne.


Recycler la prime pour l'emploi
Faisant le constat que l'actuelle prime pour l'emploi (PPE) "ne marche pas", le président sortant propose de "réformer complètement" ce dispositif qui représente le versement de 450 euros en moyenne par mois à 6 millions de personnes.
En contrepartie, Nicolas Sarkozy veut alléger les charges des bas salaires allant jusqu'à 1,2 fois le Smic, soit environ 7 millions de personnes, ce qui se traduirait par une augmentation de "leur salaire d'un peu moins de 1.000 euros par an", estime le candidat. Une mesure qui "ne dégradera pas le déficit", a-t-il assuré.
Pour ce faire, aux 2,5 milliards d'euros que coûte la PPE, Nicolas Sarkozy entend remettre la "fiscalité payée sur les dividendes au même prix que la fiscalité payée sur le travail", soit un gain supplémentaire de 1,5 milliard d'euros. Soit 4 milliards d'euros qui viendront compenser l'allégement de charges annoncé et se traduira, pour les travailleurs, "directement sur la feuille paye", explique le candidat UMP.
Encadrer les très hauts revenus
A l'autre extrémité de l'échelle des revenus, les grands patrons aux salaires "choquants" sont dans le viseur de Nicolas Sarkozy, qui veut imposer l'encadrement de leurs rémunérations. Le candidat 2012 propose que ces salaires soient rendus publics et fixés par un comité des rémunérations où siégerait un salarié de l'entreprise. Ces salaires "devront être votés non pas par les conseils d'administration, où en général il y a beaucoup d'amis, mais par l'assemblée générale des actionnaires", a-t-il annoncé.
Toutefois, selon le commentaire du Président sortant, cette mesure ne devrait impacter qu'un nombre très limité de dirigeants : "il y a une infime minorité qui a beaucoup choqué les Français en faisant vraiment n'importe quoi", a ainsi justifié le chef de l'Etat. Pour ces derniers, le chef de l'Etat estime qu'il faudra interdire les parachutes dorés et autres retraites chapeau.
Enfin, le candidat à sa succession a tenu à réaffirmer ses promesses de recourir au référendum sur la formation et l'indemnisation des chômeurs, ainsi que sur la lutte contre l'immigration illégale.

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